L’homme qui coule en bronze : bravo Yves pour le commentaire! Et si on veut la retrouver? Où est-elle? Et Porto Maurizio, c’est très joli, secouez-vous les gars, on veut rêver un peu!
Un peu d’histoire pour se remonter le moral. La course cycliste Milan – San Remo a un peu commencé comme notre prologue à la Brousse, donc tout est envisageable! En 1907, il pleut, il fait froid, seulement 33 sur les 62 inscrits se présentent au départ et uniquement 14 passent la ligne d’arrivée. Pff! A la Brousse, tout le monde a terminé : on est des champions!
L’étape : départ tardif, 11h45, dû à la réparation du vélo de Serge. La journée a été chaude et moite. Pour la première fois, ils terminent à 44km au lieu des 49 prévus.
« Nous roulons sur une route longeant la mer jusqu’à San Remo. Les plages sont privées et l’eau sent mauvais parfois. Il n’y a pas beaucoup de choses à voir. A partir de San Rémo, nous empruntons une piste cyclable, anciennement voie ferrée. Nous passons devant d’anciennes gares. Nous empruntons des tunnels parfois longs et cela tout au bord de la mer jusqu’au camping Eucalyptus. »
Il est situé en pleine ville entouré d’immeubles. Cela semble être un ancien parc d’une maison bourgeoise. Dommage, les blocs sanitaires tout neufs ne sont pas accessibles aux PMR. Comme au camping précédent, les nombreux moustiques minuscules sont virulents; il faut absolument se pulvériser d’insecticide.
Réponse à la question d’hier : C’est le film de Gérard Oury « Le Corniaud » qui a rendu célèbre le poste de douane du Pont Saint Louis.
Je vois que tout le monde est bien souriant et que malgré les aléas l’aventure continue, c’est bien, chaque problème a sa solution..
De toute façon il en a pas besoin de freins Serge….
Bonne continuation
Sylvain
Bonjour à tous,
Il est où le bonheur il est où : il est sur la route qui mène à Rome et le bonheur il est aussi le matin quand se prépare le café dans le camping car.
Bonne continuation, prenez du plaisir et profitez des paysages.
Francis
Je suis allé roulé ce matin ,mais tout seul, sans vous ça n’à pas la même saveur ! En revanche, j’ai l’impression que durant notre périple, ils ont raboté les côtes ici ça me s’emble plus plat qu’avant! Peut être que c’est du fait que je n’ai plus de handbike à pousser .
A ce sujet d’ailleurs j’ai l’impression que je me suis fait avoir! Serge me disait de pousser car il voulait s’économiser pour la partie « Italie » mais ça m’à l’air cool! au vu du montage des tentes il s’économise toujours…
Sacré Serge!
Bonne route et à plus.
Paul