Orthez est une halte traditionnelle sur le chemin de Saint Jacques, l’hôtel de la lune, qui date du XVème siècle, a récemment retrouvé sa fonction hospitalière : un refuge municipal/associatif y a été aménagé pour recevoir les pèlerin.
L’église Saint-Pierre du XIVème siècle possède la voûte la plus haute du Béarn. Une statue contemporaine en bois représente saint jacques pèlerin. Les pèlerins quittent Orthez en passant le gave du Pau par l’ancien pont fortifié en direction de Sauveterre en Béarn, qui offre une magnifique perspective sur les Pyrénées. Il possédait autrefois deux tours. Aujourd’hui, ne subsiste qu’une tour-porte au milieu du tablier.
Les pensées positives de l’équipe :
Francis : hier lunettes perdues bon !!! Toute l’équipe va bien, tous en forme et le cuisinier aussi….
Jean Luc : rester zen.La nuit :
Chez les Sœurs Clarisse ont été très gentilles mais communiquent que le minimum. Nuit confortable mais un peu de bruit en début de nuit venant de la rue.
Le temps :
Temps couvert mais pas de pluie pas plus mal pour monter les côtes qui très nombreuses surtout en débit de matinée (4 côtes toutes les 15 minutes)
Le gîte du soir :
Arrivée au camping de ,,,,,,,,,,, à 4 km de Saint Jean pied de port ,Seul problème c’est que ces 4 km seront à remonter pour prendre la route du col de Roncevaux !, Oh à remonter par rapport à la suite c’est un faux plat.
Ah Yves à tester la douche et s’est rincer à l’eau froide……………Ce n’était pas une blague de Jean Luc, confirmé par le responsable du camping qui est revenu le dépanner .
Le résumé de l’étape :
Nous avons déjeuné dans le jardin de sœurs Clarisse, Jean Luc n’est pas en avance car il envoie charge les photos de la journée sur son ordi.
L’étape prévue est de 70 km en montagne et nous ne voulons pas trop tarder car les Pyrénées cela grimpe sec. Le départ est donné finalement à 8h45 tout va bien sauf Francis qui a perdu ses lunettes et qui de ce fait ne peut plus conduire le camping cars !
A peine sorti d’Hortez nous attaquons une route à plus de 10% sur au moins 4 km, Arrivez en haut hors d’haleine nous croisons une pèlerine d’au moins 15 ans notre aînée avec un vélo chargé de tout le matériel ! D’un seul coup nous nous sommes trouvés ridicule de nous plaindre surtout que cette personne prénommée Bernadette faisait le périple pour la 9ème fois. , Nous lui avons demandé le but ou le sens de ses multiples périples vers Compostelle, sa réponse était : « se retrouver seule pour souffler et avoir la paix ! »
Déjeuné à St Palais ou il y avait la fête et départ et sans trop tarder nous reprenons la route car il nous restait 30 km à faire, Le chemin de Compostelle empruntait la départementale ce qui nous facilitait bien les choses sur nos vélos.
Arrivée du frère de Serge qui nous l’enlève pour le dimanche,
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