Les pensées positives de l’équipe :
Jean Luc : Un peu de stress, ça va mais avec un planning chargé, ça devient plus contraignant !!!!
la nuit :
Nuit magnifique (vous entendez quoi par là ????)
Le temps :
Ensoleillé chaud et certainement quelques regrets de ne pas avoir roulé plus le matin. On n’est jamais content !!! Il pleut, ce n’est pas le pied, il fait beau et chaud ce n’est pas le pied non plus. C’est ce que je dis : « Jamais content »
Le gîte du soir :
Dans un camping, nous sommes logés dans une structure semi rigide pour 5 personnes, C’est un peu petit pour 5. Michel préfère dormir sous sa tente et Serge le matelas pneumatique dans le séjour.
Grosse paresse ce soir, personne n’a envie de se mettre au fourneau. Nous décidons de diner à l’extérieur. Il nous faudra bien 45mn avant de trouver un resto. On en déniche un dans un petit village à côté à Toral, peu cher 85€ pour 7 et des plats absolument délicieux. Cela ne s’invente pas le resto s’appelle « au canadien ». En entrée nous avons eu une super soupe de poisson avec des coquillages et de gros morceau poisson. On a un peu tiqué au départ mais on a vraiment pas regretté, ensuite un plat de viande en sauce, il nous a fallu un moment avant de savoir ce que c’était pour les uns du cochon, pour d’autre du sanglier. Essayez de demander au serveur de quelle viande il s’agit. Surtout lorsque vous ne parlez pas l’espagnole. Yves fait très bien le grognement du sanglier et mime très bien les deux grosses dents qu’ils ont devant. Nous avons été les seuls clients de la soirée, quoi qu’il ne fût que 22 :00 lorsque nous sommes sortis.
Le résumé de l’étape :
Sans nul doute la plus belle étape depuis le départ. Des paysages montagneux somptueux. Traversée de villages typiques, comme celui de Castrillo de los Polvazares avec ses rues en pierres de tailles irrégulières donc pas très praticables en vélo. Puis montée vers le col du Montes de Leon à 1 500 mètres. Au sommet nous faisons la connaissance d’un jeune luxembourgeois, Raphael, en handbike. Celui-ci fait l’admiration d’Yves. Ce jeune roule seul, chargé comme une mule et roulant sur son fauteuil attelé.
Ensuite une descente de 15km, parfois vertigineuse. Nous ressentons la température montée au fur et à mesure que nous roulons : cela fait du bien d’avoir enfin une température digne d’un mois de juin en Espagne.
Arrivés au camping en fin d’après-midi, tous assez fatigués mais ravis de cette belle étape.
Les commentaires, les humeurs:
Petit ennui avec la vitre du conducteur impossible de la fermer, c’est le câble de commande qui est coincé, 2 démontages de la porte lors d’attente des cyclistes, ce qui ne laisse pas beaucoup de temps pour regarder un paysage magnifique, après avis général recherche d’un garage Citroën oups ! On en trouve un qui n’a d’autre solution que de couper le câble et de bloquer la vitre en position haute (on est en Espagne et il a arrêté de pleuvoir). Nous avons rencontré que des Espagnols cordiaux, très arrangeants et serviables, c’est agréable d’avoir affaire à eux. En plus 12€ pour la réparation chez un concessionnaire.
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